“Zašto ja uvek moram da popuštam zbog tvoje tvrdoglavosti? Mislim da te više volim.”
“Kako to može da se izmeri?”
“Pa tako. Ja uvek popuštam tvojim hirovima. Zamisli odlučim da više neću.”
“Šta bi bilo?”
“Jednom ću odlučiti da vidim.”
“Ne želim da idem na šumsku žurku. Ostajem kući, da čitam i gledam film.”, reče bezobrazno Mrav.
“Znaš koliko želim da odem. Biće svi, a moćićemo da plešemo do jutra.”, reče kroz suze Veverica.
Nije se obazirao.
Izgleda da je došao taj trenutak.
Više neće da mu poušta.
Otićiće sama i plesaće do jutra.
Neće mu spremiti čaj od žira, ni poslužiti slatko od šumskih jagoda.
Neće se uopšte vratiti.
Odluka je pala.
Dani su prolazili. Od Mrava ni glasa.
“Uopšte me ne voli.”, pomisli Veverica.
Prošlo je proleće, leto i jesen. Pao je i prvi sneg…
Veverica je već isplakala sve suze i shvatila da je Mrav nije nikada ni voleo.
Jednog jutra neko pokuca na vrata.
Bio je to Mrav. Izgledao je užasno utučen.
“Nisam više mogao da čekam da se vratiš sa šumske žurke.”
Inspirisano pričama Tona Telehena
IMAGINE
«Pourquoi je dois toujours céder à cause de ton entêtement, Je pense que je t’aime le plus. »
« Comment peux-tu le mesurer ? »
« Ben comme ça. Je cède toujours à tes fantaisies. Imagine que je ne le veuille plus. »
« Qu’est ce qui se passerait ? »
« Un jour, je déciderai de le faire juste pour voir. »
« J’ai pas envie d’aller à la fête de la forêt. Je reste à la maison pour lire et regarder un film » dit méchamment la Fourmi.
« Tu sais à quel point j’ai envie d’y aller. Tout le monde sera là-bas et nous pourrons danser jusqu’au petit matin. » Dit à travers les larmes l’Ecureuil.
La Fourmi n’y prêta pas attention.
Il semblait qu’était venu le moment de ne plus lui céder.
Il irait seul et danserait jusqu’au matin.
Il ne lui préparera pas de thé au gland ni de confiture de fraises des bois.
Il ne rentrerait pas.
La décision était tombée.
Les jours passèrent. Pas de nouvelles de la Fourmi.
« Elle ne m’aime pas », pensa l’Ecureuil.
Le printemps passa, l’été, l’automne. Les premières neiges tombèrent…
L’Ecureuil avait épuisé toutes ses larmes et compris que la Fourmi ne l’avait jamais aimé.
Un matin, quelqu’un frappa à la porte.
C’était la Fourmi. Elle avait l’air pitoyable et abattue.
« Je ne pouvais plus attendre que tu reviennes de la fête de la forêt. »
Inspiré des histoires de Ton Telehen